Que j’avais de si près tenus,
Et tant aimés ? »
La poésie médiévale de Rutebeuf date du XIII siècle.
Prenant conscience de la solitude, nous nous interrogeons sur nos « amis », qui furent si présents lorsque nous avons pu leur être utiles, et qui un à un, nous ont abandonnés.
Nous ne faisons pas référence aux personnes qui ont quitté ce monde parce que la vie leur a été otée, mais bien aux individus qui se sont rapprochés de nous pour tirer un profit et qui se sont ensuite dispersés au premier souffle, comme sait si bien le faire le commun des bipèdes.
« Ce sont des amis que le vent emporte
Et il ventait devant ma porte
les emporta. »
https://www.youtube.com/watch?v=o3zqKZiLDmg
Kandide