
Les fleurs de mai n’ont plus ce doux parfum: je me languis de son absence. Le soleil luit, mais sans chaleur, je suis éteint, démotivé. Je n’ai plus cette envie irrépressible de faire tout mieux que maman. Lorsque mon bipède arrive. Je l’accueille bien en le saluant, mais dans un léger murmure et désormais sans ce tonitruant « « BONJOUR! » qui couvrait la douce voix de ma mère.
Dis maman, quand reviendras-tu?
Kandide