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La véritable légèreté, c'est d'avoir le cheval léger aux jambes autant qu'à la main
Général Alexis l'Hotte
 


Les rênes coulissantes sont par excellence l'enrênement des cavaliers pressés,

Les rênes coulissantes sont par excellence l'enrênement des cavaliers pressés, sans tact, mal formés ou mal conseillés.
Elles favorisent dans un premier temps, à travers un ramené trop prononcé, dont le cavalier ne s'aperçoit pas nécessairement, l'encapuchonnement du cheval et dans un second temps, le creusement de son dos.
Le cheval pour s'y soustraire, va se réfugier dans une attitude trompeuse d'élévation absolue de son encolure, mais ne sera plus en mesure de porter son cavalier en raison de la contraction excessive de son muscle long dorsal.
Le cavalier aura la fausse impression qu'il se grandit, mais il soulève son tronc tout en affaissant son garrot.
Le creusement du dos entraîne inévitablement une perte de la cohésion entre la bouche du cheval et l' arrière main, on se retrouve en présence d'un cheval "en deux parties".
C'est le début de la rétivité, avec au bout du chemin, la ruine de la santé physique et mentale de l'animal.
D'un point de vue fonctionnel, l'arrière main se désengage progressivement, avec altération des allures (galop désuni, latéralisation du pas...)
Le cavalier se retrouve dans l'impossibilité de trouver sa place sur le cheval embouti, sa position devient défectueuse au fil du temps.
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