Il n'y a pas de mauvais chevaux, il n'y a que des mauvais cavaliers.
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Cheval-Oblige II
Co2 Temoignages
comment en vient-on à la méthode Cheval Oblige?




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Il a plusieurs façons à mon sens d'en venir à adopter cette méthode :
- la première parce qu'on est à la recherche d'un certain confort pour son cheval, mais sans savoir vraiment comment y parvenir, mais on "sent" qu'il existe autre chose. On a tenté plusieurs méthodes mais aucune ne donne le résultat attendu.
- la seconde parce qu'on a un cheval dit "difficile" et qu'on n'en vient pas à bout, à chaque séance, tout est remis en question, et la progression de séance en séance est quasi nulle,
- enfin la troisième, qui est une conséquence de la seconde : parce que le cheval difficile au début, devient un cheval qui oppose des résistances, devient rétif, voire dangereux.
Mon histoire est issue de la troisième cause.
J'avais jusqu'alors possédé des chevaux que l'on peut considérer faciles, qui acceptaient mes actions et la méthode que j'appliquais (celle enseignée par la majorité des moniteurs, et qui marche en règle générale, ou tout au moins qui donne l'impression de fonctionner puisqu'on ne rencontre pas de difficultés majeures, le cheval ne manifestant aucune mauvaise volonté, aucune réticence, tout au moins à mes yeux d'antan et à ceux des moniteurs successifs que j'avais pu rencontrer.
Puis j'ai acheté une jument de 3 ans. Je précise ici, qu'une fois passé mont goût du CSO, je me dirigeais vers le dressage (passé un certain âge, les hauteurs deviennent plus impressionnantes et l'appréhension de la chute met en péril l'équilibre du cheval et de son cavalier !)
J'ai commencé à travailler ma jument selon les principes que l'on m'avait inculqués, qui sont ceux que la plupart des moniteurs connaissent et font appliquer à leurs élèves.
Les premiers mois se sont déroulés sans difficulté notable, la jument "voulait bien ce que je voulais", que ce soit en longe ou montée. Elle exécutait les exercices demandés avec bonne volonté et l'avenir s'annonçait sous de bons auspices, j'envisageais au bout de 6 ou 8 mois de l'engager en épreuve de dressage officielle, les quelques concours d'entraînement que nous avions fait ensemble nous ayant donné toute satisfaction.
Le désir de sortir en épreuve plus technique m'imposant de travailler "les hanches" de manière plus approfondie, j'ai donc entamé ce travail.
C'est là que tous mes déboires (conséquence d'un dos mal construit) ont débuté.
Je laisse ici mon clavier et je reviendrai demain vous apporter plus de précisions sur l'ensemble des difficultés rencontrées.
- la première parce qu'on est à la recherche d'un certain confort pour son cheval, mais sans savoir vraiment comment y parvenir, mais on "sent" qu'il existe autre chose. On a tenté plusieurs méthodes mais aucune ne donne le résultat attendu.
- la seconde parce qu'on a un cheval dit "difficile" et qu'on n'en vient pas à bout, à chaque séance, tout est remis en question, et la progression de séance en séance est quasi nulle,
- enfin la troisième, qui est une conséquence de la seconde : parce que le cheval difficile au début, devient un cheval qui oppose des résistances, devient rétif, voire dangereux.
Mon histoire est issue de la troisième cause.
J'avais jusqu'alors possédé des chevaux que l'on peut considérer faciles, qui acceptaient mes actions et la méthode que j'appliquais (celle enseignée par la majorité des moniteurs, et qui marche en règle générale, ou tout au moins qui donne l'impression de fonctionner puisqu'on ne rencontre pas de difficultés majeures, le cheval ne manifestant aucune mauvaise volonté, aucune réticence, tout au moins à mes yeux d'antan et à ceux des moniteurs successifs que j'avais pu rencontrer.
Puis j'ai acheté une jument de 3 ans. Je précise ici, qu'une fois passé mont goût du CSO, je me dirigeais vers le dressage (passé un certain âge, les hauteurs deviennent plus impressionnantes et l'appréhension de la chute met en péril l'équilibre du cheval et de son cavalier !)
J'ai commencé à travailler ma jument selon les principes que l'on m'avait inculqués, qui sont ceux que la plupart des moniteurs connaissent et font appliquer à leurs élèves.
Les premiers mois se sont déroulés sans difficulté notable, la jument "voulait bien ce que je voulais", que ce soit en longe ou montée. Elle exécutait les exercices demandés avec bonne volonté et l'avenir s'annonçait sous de bons auspices, j'envisageais au bout de 6 ou 8 mois de l'engager en épreuve de dressage officielle, les quelques concours d'entraînement que nous avions fait ensemble nous ayant donné toute satisfaction.
Le désir de sortir en épreuve plus technique m'imposant de travailler "les hanches" de manière plus approfondie, j'ai donc entamé ce travail.
C'est là que tous mes déboires (conséquence d'un dos mal construit) ont débuté.
Je laisse ici mon clavier et je reviendrai demain vous apporter plus de précisions sur l'ensemble des difficultés rencontrées.
les premières difficultés commencèrent à surgir alors que je préparais le travail aux deux pistes : la jument se tordait et sous ma selle, je sentais bien que son corps ne formait pas bloc, je ressentais un sentiment "d'incohérence" dans son déplacement. Elle n'avait pas encore 4 ans (ou tout juste) et je me disais que ce n'était qu'une difficulté liée à sa jeunesse. J'ai donc repris un travail normal sans insister davantage, mais plus le temps passait, plus la jument renaclait à se porter en avant, jusqu'au jour où elle s'est mise debout, droite comme un "i". Je suis tombée, en fait j'ai glissé de ma selle vers l'arrière et j'ai vu la masse de la jument arriver sur moi (elle mesure 1m 75 et devait bien faire à l'époque ses 500 voire 600 kg). Fort heureusement, elle a bien voulu faire l'effort de retomber sur ses antérieurs...............Les jours ont passés, il lui arrivait de + en + fréquemment de se pointer après avoir refusé de se porter en avant. La coupe a été pleine le jour où elle s'est pointée alors que je sanglais.
J'ai cherché un échappatoire en la longeant en chambon car l'idée commençait à poindre en moi que son point faible venait du dos trop faible pour exécuter le travail demandé. L'instructeur avec qui je travaillais à fini par me conseiller de la vendre car il la considérait dangereuse. Ses mots ont été "elle finira par vous tuer", vendez-la. Elle saute bien, elle fera l'affaire d'un cavalier de CSO". Mais comment vendre un cheval que l'on sait dangereux ? La responsabilité prise en la vendant devenait bien trop grande, risquer ma vie soit, mais celle d'autrui, non.
Les longes en chambon me paraissaient lui apporter un certain confort, j'ai donc persévéré dans cette voie sans plus la monter du tout.
Vint le jour où je me suis remise en selle. Tout s'est bien passé, les difficultés s'étaient envolées (du moins l'ai-je cru) puisque peu de temps après elles ressurgissaient et nous revenions au point zéro
D'une jument réputée caractérielle", j'étais passée à une jument rétive. Elle n'était pas violente dans ses réactions : elle n'embarquait pas, ne donnait pas de coup de cul, ne me "débarquait" pas, ne levait pas la tête, rien de tout cela. Elle refusait purement et simplement de se porter dans le mouvement en avant.
J'ai fait peu de temps après la connaissance de M. Février qui me dit qu'il était prêt à m'aider. Sur le moment j'avoue ne pas l'avoir cru et avoir douté. J'avais travaillé cette jument avec un instructeur, pour moi sa méthode ne pouvait pas être mise en doute, de plus c'était celle que l'on m'avait enseignée de tous temps.
J'acceptai donc la proposition de M.Février et nous nous mîmes au travail (je devrai plutôt dire "il", car c'est lui qui a fait tout le travail d'orientation de ma jument). C'est lui qui l'a longée selon sa méthode, et c'est encore lui qui m'a convaincue de la remonter. Nous avons eu des "hauts" et des "bas", quelque fois la jument s'avérait perméable au travail et d'autres, elle retrouvait ses défenses. Mais progressivement, le travail payait, juqu'à la disparition totale de ses défenses. Nous avons travaillé ainsi presque deux ans ensemble. Les 6 premiers mois se sont quasiment passés à pieds pour moi, en longe pour la jument dans le standard de la méthode Cheval Oblige.
Le premier concours de dressage sur lequel j'avais engagé comportait une serpentine 3 boucles au galop (donc sans changement de pied, ce qui supposait un cheval en parfait équilibre), un allongement dans la diagonale et une cession à la jambe. Exercices que nous n'avions jamais travaillés avec Michel. J'hésitais à désengager ma jument pensant qu'elle ne réussirait pas ces figures, mais la certitude sereine de mon nouvel instructeur était telle face à mes interrogations, que j'ai finalement participé au concours. La jument a parfaitement exécuté les figures et je me suis classée dans les 3 premiers. Avec les félicitations du juge qui avait connu ma jument auparavant et qui connaissait les difficultés rencontrées.
Voilà pour mon expérience de cette méthode avec celui qui l'a publiée. J'ai voulu en parler parce que par la suite j'ai toujours travaillé mes chevaux dans la même optique, et qu'aujourd'hui la jument dont je vous ai parlé a presque 30 ans et que si elle est encore en vie et en bonne santé, qu'elle galope encore dans son paddock, qu'elle a bon moral (encore un peu mauvais caractère, mais bon, on s'y fait), c'est bien parce qu'on a su préserver son intégrité physique.
Mon propos n'est pas de prétendre ici qu'il n'y a QUE cette méthode, d'autres ont fait aussi leurs preuves. Ce que je veux dire, c'est que c'est la seule méthode que je connaisse qui soit applicable à TOUS les chevaux. J'ai beaucoup lu sur l'équitation, les différentes méthodes, CO2 c'est aussi la seule méthode qui vous dise comment parvenir au but.
J'espère ne pas vous avoir importuné et je vous remercie de m'avoir lue
J'ai cherché un échappatoire en la longeant en chambon car l'idée commençait à poindre en moi que son point faible venait du dos trop faible pour exécuter le travail demandé. L'instructeur avec qui je travaillais à fini par me conseiller de la vendre car il la considérait dangereuse. Ses mots ont été "elle finira par vous tuer", vendez-la. Elle saute bien, elle fera l'affaire d'un cavalier de CSO". Mais comment vendre un cheval que l'on sait dangereux ? La responsabilité prise en la vendant devenait bien trop grande, risquer ma vie soit, mais celle d'autrui, non.
Les longes en chambon me paraissaient lui apporter un certain confort, j'ai donc persévéré dans cette voie sans plus la monter du tout.
Vint le jour où je me suis remise en selle. Tout s'est bien passé, les difficultés s'étaient envolées (du moins l'ai-je cru) puisque peu de temps après elles ressurgissaient et nous revenions au point zéro
D'une jument réputée caractérielle", j'étais passée à une jument rétive. Elle n'était pas violente dans ses réactions : elle n'embarquait pas, ne donnait pas de coup de cul, ne me "débarquait" pas, ne levait pas la tête, rien de tout cela. Elle refusait purement et simplement de se porter dans le mouvement en avant.
J'ai fait peu de temps après la connaissance de M. Février qui me dit qu'il était prêt à m'aider. Sur le moment j'avoue ne pas l'avoir cru et avoir douté. J'avais travaillé cette jument avec un instructeur, pour moi sa méthode ne pouvait pas être mise en doute, de plus c'était celle que l'on m'avait enseignée de tous temps.
J'acceptai donc la proposition de M.Février et nous nous mîmes au travail (je devrai plutôt dire "il", car c'est lui qui a fait tout le travail d'orientation de ma jument). C'est lui qui l'a longée selon sa méthode, et c'est encore lui qui m'a convaincue de la remonter. Nous avons eu des "hauts" et des "bas", quelque fois la jument s'avérait perméable au travail et d'autres, elle retrouvait ses défenses. Mais progressivement, le travail payait, juqu'à la disparition totale de ses défenses. Nous avons travaillé ainsi presque deux ans ensemble. Les 6 premiers mois se sont quasiment passés à pieds pour moi, en longe pour la jument dans le standard de la méthode Cheval Oblige.
Le premier concours de dressage sur lequel j'avais engagé comportait une serpentine 3 boucles au galop (donc sans changement de pied, ce qui supposait un cheval en parfait équilibre), un allongement dans la diagonale et une cession à la jambe. Exercices que nous n'avions jamais travaillés avec Michel. J'hésitais à désengager ma jument pensant qu'elle ne réussirait pas ces figures, mais la certitude sereine de mon nouvel instructeur était telle face à mes interrogations, que j'ai finalement participé au concours. La jument a parfaitement exécuté les figures et je me suis classée dans les 3 premiers. Avec les félicitations du juge qui avait connu ma jument auparavant et qui connaissait les difficultés rencontrées.
Voilà pour mon expérience de cette méthode avec celui qui l'a publiée. J'ai voulu en parler parce que par la suite j'ai toujours travaillé mes chevaux dans la même optique, et qu'aujourd'hui la jument dont je vous ai parlé a presque 30 ans et que si elle est encore en vie et en bonne santé, qu'elle galope encore dans son paddock, qu'elle a bon moral (encore un peu mauvais caractère, mais bon, on s'y fait), c'est bien parce qu'on a su préserver son intégrité physique.
Mon propos n'est pas de prétendre ici qu'il n'y a QUE cette méthode, d'autres ont fait aussi leurs preuves. Ce que je veux dire, c'est que c'est la seule méthode que je connaisse qui soit applicable à TOUS les chevaux. J'ai beaucoup lu sur l'équitation, les différentes méthodes, CO2 c'est aussi la seule méthode qui vous dise comment parvenir au but.
J'espère ne pas vous avoir importuné et je vous remercie de m'avoir lue
Un grand Merci Sylvaine pour ce témoignage captivant dans lequel j'ai retrouvé de nombreux aspects, en particulier celui de la rétivité chez une jument liée à une douleur, dans des proportions moindres que pour Tenace. J'ai également fait la connaissance de M.Février dans des conditions où ma jument souffrait de conflit d'apophyses épineuses douloureux et d'une subluxation sacro-iliaque ancienne, Fouille était une jeune jument délicate, pleine de sang, et grâce à cette approche sa souffrance a disparu totalement en quelques mois, permettant à la jument de participer de nouveau à des compétitions d'obstacle dans de bonnes conditions avec moi, sans aucune médication.
Depuis cette date je suis restée fidèle à cette approche Co2, elle m'a permis de débourrer nombre de chevaux et poneys, et d'en rééduquer d'autres, les résultats ont toujours été à la hauteur des attentes voire au delà, satisfaisants parce que l'adhésion du cheval est obtenue en toute circonstance: Merci Michel.
Depuis cette date je suis restée fidèle à cette approche Co2, elle m'a permis de débourrer nombre de chevaux et poneys, et d'en rééduquer d'autres, les résultats ont toujours été à la hauteur des attentes voire au delà, satisfaisants parce que l'adhésion du cheval est obtenue en toute circonstance: Merci Michel.
la malheur, c'est que j'ai découvert cette méthode tard. Et que tant que l'on ne rencontre pas de difficultés, on persiste dans nos erreurs. Alors que ce serait tellement mieux de s'éviter tous ces déboires en entreprenant directement nos jeunes chevaux.
J e vous remercie infiniment pour vos témoignages à toutes les deux, Sylvaine et Sleip, dans ces deux cas, c'est bien le cheval le juge de paix, qui vous dit si ce que vous faites est bien pour lui, ou mal.
Vous avez su abandonner toutes les deux le monde équestre pour entrer dans le monde du cheval, vous avez su vous mettre au service du cheval, en dehors de connaître ou pas CO2, il faut avoir ce courage et cette volonté, en "entrant en CO2", d'abandonner toute certitude ou préjugés, particulièrement celui de penser que le cheval est un animal inférieur et donc, que l'on doit soumettre à tout prix.
C'est parce que vous avez persévéré, toutes les deux, dans l'hypothèse ou le cheval n'est pas "indressable". Et toutes les deux, vous aviez déjà, de par votre grande expérience des chevaux, dans votre esprit que l'on pouvait "éduquer" le cheval, c'est-à-dire, le considérer comme un être différent mais pas inférieur.
Tout le mérite vous en revient car vous vous êtes attachées à vouloir trouver le moyen de satisfaire votre cheval, et d'y trouver alors, votre propre satisfaction. Ce qui prouve encore, par vos deux témoignages, que CO2 est accessible à tout le monde, et quand on possède "l'esprit" de CO2 comme vous l'aviez, avant de me connaître, il était tout-à-fait logique qu'un jour, vous puissiez en rencontrer la "lettre".
L'essentiel, ce n'est pas que vous me disiez merci et croyez-moi, j'y suis très sensible, non, l'essentiel, c'est que vous ressentiez que c'est bien le cheval qui vous dit "merci".
Je vous embrasse toutes les deux,
Michel
Vous avez su abandonner toutes les deux le monde équestre pour entrer dans le monde du cheval, vous avez su vous mettre au service du cheval, en dehors de connaître ou pas CO2, il faut avoir ce courage et cette volonté, en "entrant en CO2", d'abandonner toute certitude ou préjugés, particulièrement celui de penser que le cheval est un animal inférieur et donc, que l'on doit soumettre à tout prix.
C'est parce que vous avez persévéré, toutes les deux, dans l'hypothèse ou le cheval n'est pas "indressable". Et toutes les deux, vous aviez déjà, de par votre grande expérience des chevaux, dans votre esprit que l'on pouvait "éduquer" le cheval, c'est-à-dire, le considérer comme un être différent mais pas inférieur.
Tout le mérite vous en revient car vous vous êtes attachées à vouloir trouver le moyen de satisfaire votre cheval, et d'y trouver alors, votre propre satisfaction. Ce qui prouve encore, par vos deux témoignages, que CO2 est accessible à tout le monde, et quand on possède "l'esprit" de CO2 comme vous l'aviez, avant de me connaître, il était tout-à-fait logique qu'un jour, vous puissiez en rencontrer la "lettre".
L'essentiel, ce n'est pas que vous me disiez merci et croyez-moi, j'y suis très sensible, non, l'essentiel, c'est que vous ressentiez que c'est bien le cheval qui vous dit "merci".
Je vous embrasse toutes les deux,
Michel
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