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Il n'y a pas de mauvais chevaux, il n'y a que des mauvais cavaliers.
Auteur inconnu
 
Rss Pourquoi ne faut il pas brûler les étapes du dressage du jeune cheval ?
La compétition pour seul but introduite dans notre sport et certains aspects commerciaux indissociables conduisent de nombreux cavaliers à considérer le cheval qu'ils montent comme un instrument destiné à servir leur mise en valeur ou (et) leur profit.
Parfois son prix d'achat et toujours le coût élevé de son entretien incitent les cavaliers à brûler les étapes indispensables du dressage.
Avant que n'apparaissent les signes de défaillances physiques, on constate le plus souvent l'effondrement du moral du cheval, qu'on a refusé de prendre en considération. Alors on accuse le cheval et on le soumet à des épreuves de force qui ne procurent, au mieux, que des résultats précaires.

L'équitation militaire avait cette supériorité qu'elle respectait, dans un premier temps, les règles de formation physique et morale du jeune cheval, méthodiquement débourré dans les dépôts de remonte. Ils en demeuraient tous favorablement marqués pour la suite du dressage et le restant de leur vie.
En quoi consiste un bon dressage ?

Le dictionnaire raisonné et universel d'agriculture de 1823 nous dit :
L'art de dresser un cheval consiste à lui faire comprendre ce que l'homme lui commande et ensuite à le rendre obéissant à tous ces commandements. L'animal, pour être regardé comme bien dressé, doit donc, pour ainsi dire, être à l’ écoute de ce que veut le cavalier et l'exécuter aussitôt l'ordre donné... L'art du dresseur demande beaucoup plus de connaissance que l'on pense, et le peu de chevaux agréables à manier en est bien une preuve suffisante .



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Note: 5
(1 note)
Ecrit par: sleipnir, Le: 23/09/10